L'idée d'être fessée par un "moche", franchement ? Mesdames, revoici une question déjà posée il y a quelques années mais qui fait partie des classiques: (et puis ça me rassure !)
Est-ce essentiel que celui qui vous fesse soit bel homme ? (ou une belle personne dans le cas où c'est une femme qui vous donne la fessée...)
Soyons clair, est-ce que son physique a une quelconque importance ? Ou bien est-ce que ça vous indiffère totalement, puisque vous cherchez tout autre chose dans une punition que de la séduction, ou même... du cul.
Je parle là d'une fessée proprement dite, punitive, sans sexuer aucunement l'histoire. J'ai croisé des femmes qui ont une relation uniquement punitive avec celui qu'elles autorisent à les remettre en place. Et qui n'est pas leur amant.
Exemple: une de mes épistolaires amies du net m'a raconté qu'elle se rend une ou deux fois par mois, quand elle considère qu'elle a fait des bêtises (à son aune) chez un type qui réside à quelques kilomètres de chez elle pour "se faire recadrer", comme elle dit.
Un ancien proviseur à la retraite courtois, mais avec une main d'acier, qui la déculotte et la fesse énergiquement comme une gamine avant de l'envoyer en pleurs au coin, quelques instants, le temps qu'elle reprenne ses esprits.
Le physique banal, sans le moindre attrait de ce monsieur - plus proche de Michel Galabru que de Steve McQueen - n'est pas un problème pour elle: elle ne vient pas du tout pour autre chose que ce qu'ils ont mis en place comme rituel dès le début de leur relation. Qui leur convient...
Après la correction, cuisante, sévère, venant après la confession sans fard des "fautes" commises dans la quinzaine, ils prennent un thé (!), devisent et elle repart chez elle retrouver son mari qui n'est au courant de rien (et ne doit pas regarder ses fesses trop souvent, du coup !) apaisée, sans qu'il n'y ait eu (selon ce qu'elle ressent) la moindre note érotique dans leur comportement à l'une et à l'autre.
Pour peu évidemment qu'on trouve que la fessée ne le soit pas, érotique. Et qu'on considère la chose un peu comme quand on va chez le médecin pour soigner un rhume. Là, une bêtise et on se retrouve chez le fesseur généraliste...
Je précise quand même que c'est là un acte gratuit et que ce n'est pas remboursé ni pris en compte par votre mutuelle...
Pourquoi je dis ça ? Parce que je me souviens d'un gars, disparu depuis, qui faisait payer aux femmes en monnaie sonnante et trébuchante les fessées qu'il leur administrait. Considérant qu'il était un peu une sorte de psy et que le fait de payer est important pour "la patiente"...
Mais ce n'est pas si surprenant. Mon amie Kelly dont c'est le métier ne fait jamais "d'actes gratuits", là-bas, aux States, et fait payer (cher) ses prestations, que ce soit pour les hommes ou les femmes.
Image © Cimiteria
5 commentaires:
Bonjour Stan,
Voilà une bonne question, digne de figurer dans un QCM de la fessée. Vous connaissez certainement la version ciné de "Notre-Dame de Paris" réalisé en 1956 par Jean-Paul Le Chanois (cf. aussi "les Misérables" avec J. Gabin). La sculpturale Gina Lollobrigida (Bellissima !) et Le disgracieux Anthony Quinn se partagent la vedette. Imaginons la scène dessinée avec talent ci-dessus transposée avec les deux stars. Belle affiche, non ? Rêvons un peu...
Charles.
Personnellement je n'accorde que peu d'importance au physique.
Même si bien entendu j'ai des idéaux parmi les acteurs.
Cependant il n'y a pas que leur physique qui m'attire mais leur personnalité qui transpire le spanko, leur mots, leurs choix.leurs attitudes...
En fait en amitié profonde ou en amour j'ai besoin d'avoir en face de moins du répondant, intellectuellement être connecté, dans l'humour la manière d'aborder les choses, etc.
D'aucun diront que j'ai besoin d'admirer l'autre pour ce qu'il connaît et maîtrise ou transmet.
Et en même temps je ne le pose pas sur un pied d'estale puisque je me sens son égal (il n'y a pas l'homme au-dessus et la femme en dessous, quoique la position est intéressante dans certaines situation mais je m'éloigne du sujet...). Attention je ne suis pas féministe dans l'excès (qui m'agace), je cherche juste le respect de l'autre et le respect des différence qui font souvent de merveilleux compléments.
Donc l'aspect physique de l'autre n'est pas essentiel, à part son regard, et sa voix (un subtil mélange entre douceur et fermeté). Après il y a des mains très spank-appeal c'est indéniable.
Et sur le plan pratique que le monsieur soit plus grand que moi pour davantage de confort quand je me retrouve déculottée en travers de ses genoux est un +++.
Ecoutez, moi qui suis moche comme un poux et méchant comme la gale (pas France !), je rédempte, je recadre, je dresse, j'éduque, je reformate, je corrige, je réprimande, je sermone, j'amande, je sévis, je rosse, je taloche, je rectifie, je punis, je châtie et je fesse... à tour de bras !
Le physique peut s'effacer devant l'autorité dans ce genre de fantaisie disciplinaire...
Après, si le monsieur vaut consommer ce qu'il vient de faire mijoter à feu vif, là, c'est une autre affaire...
Ça marche dans les deux sens. La question se pose de la même manière piur le fesseur. Le fesseur acceptera-t-il de fesser une moche? ( ou trop maigre,ou trop grosse,ou plus agée...) bref une qui soit un peu différente des modèles parfaits qu'on voit sur les vidéos?
Bonne question Zabelle ! J'aimerais savoir s'il est arrivé à ces messieurs (ou dames qui fessent) de parfois découvrir (au propre comme au figuré) des fesses bien différentes de ce qu'ils avaient imaginé ... et ce que furent les réactions...
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